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Paysage avec un homme tué par un serpent / Les Effets de la terreur - Poussin
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Auteur : Poussin, Nicolas (1594-1665)
Datation : 1648 Sujet de l’image : Scène dans un paysage
Dispositif : Petite(s) scène(s) dans un paysage ou une fabrique
Objets indexés dans l’image : Les personnages sont disséminés dans une vue
/ Serpent
Nature de l’image : Peinture sur toile
Dimensions : Hauteur 118, * Largeur 197, cm Lieu de conservation : Londres, The National Gallery, NG5763 (exposé salle 19) Bibliographie : P. Rosenberg et L. A. Prat, Nicolas Poussin (cat), RMN, 1994, n° 179, p. 407 Diderot, Salons de 1767-69, éd. Bukdahl, Delon, Lorenceau, Hermann, 1990, allusion p. 253 (à propos des paysages de Juliart), commentaire pp. 399-400 (pay
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Comparaison avec d’autres notices : Paysage avec Orphée et Eurydice - Poussin // Mucius Scævola devant Porsenna - Le Brun // Serpent dévorant les gens de Cadmos (Métamorphose Lyon 1557) - Bernard Salomon // Un serpent tue Hespérie ; Ésaque changé en plongeon (Mét. Lyon 1557) - B Salomon // Femme et dragon s’entretuant (Michel Maier, Atalanta Fugiens, 1618) // Serpentem fuge ! - Restout // Les effets de la terreur (série des Quatre Paysages, n°3) - Baudet > Poussin
1. Inscriptions, signatures. 2. Historique, auteur, fabrication, commanditaires. 3. Variantes, œuvres en rapport : 2. Tableau peint pour Jean Pointel. Achevé le 31 août 1648, d’après lettre de Poussin à Pointel, aujourd’hui perdue. L’Orphée et Eurydice du Louvre pourrait être le pendant de ce tableau. Acheté par la National Gallery en 1947. 3. Probablement pendant de l’Orphée et Eurydice. Gravé par Étienne Baudet vers 1701. Voir le Cabinet d’arts graphiques du Musée d’art et d’histoire de Genève, E 84-0178.
Analyse de l’image : Voir Fénelon, Dialogues des morts composez pour l’éducation d’un Prince, Paris, Florentin Delaulne, 1712, LI, « Léonard de Vinci et Poussin », et Félibien, Entretiens sur les vies & sur les ouvrages des plus excellens peintres, Trévoux, 1725, t. IV, 8e entretien, p. 150-151.
Diderot ne parle pas, dans le Salon de 1767, d’un homme mais d’« une femme enveloppée d’un serpent qui l’entraîne au fond des eaux » (art. Julliart, Bouquins p. 645), d’« une femme étendue à terre, enlacée d’un énorme serpent qui la dévore et qui l’entraîne au fond des eaux » (article Loutherbourg, p. 742).
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