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1. « FALCONET 1760 (S.D. SUR LA TRANCHE AU REVERS) ; DES DEUX HOMONYMES L’UN A REPRODUIT L’AUTRE PAR LA PLASTIQUE LE JEUNE A REPRESENTE LE VIEUX (EN GREC, AU REVERS) » 2. Entré au musée en 1819. 3. Buste en terre cuite, mais avec une perruque, à la faculté de médecine de Paris ; autre buste en plâtre, avec perruque, à la bibliothèque de Lyon. Analyse de l’image : Commentaire de Diderot dans le Salon de 1761 : « Beau, très beau. On ne saurait plus ressemblant. Quand nous aurons perdu ce vénérable vieillard, nous demanderons où est son buste, et nous l’irons revoir. Aussi cette tête-là prêtait bien à l’art. Elle est chauve. Un grand nez. De grosses rides et bien profondes. Un grand front. De longues cordes de vieillesse tendues du dessous de la mâchoire, le long du col, jusqu’à la poitrine ; une bouche d’une forme particulière. De la sérénité ; de l’ingénuité, et de la bonhomie. » (Ver IV 229, DPV XIII 262)
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