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1. Inscriptions, signatures. 2. Historique, auteur, fabrication, commanditaires. 3. Variantes, œuvres en rapport : Problème d’attribution des auteurs. 1. La gravure est numérotée XXIIII. dans un petit médaillon en haut au centre de la bordure. Comme aux chants VIII et XXIV, elle est imprimée en recto, sur une page de droite. Pas de numéro de page. On peut lire en haut au centre VENTESIM’OTTAVO. (mais pas de CANTO sur la page de gauche, p. 312). Argument au verso, p. 314 : « Contra le Donne Rodomonte intende. Quanto mal possa dir lingua fallace. Indi uerso il suo Regno il camin prende, Ma luogo troua pria, che al suo cor piace. Qui d’Isabella noua amor l’accende, Ma sì l’impedimento li dispiace Del frate, ch’ella ha seco in compagnia, Che’l fellon li dà morte acerba e ria. » Analyse de l’image : Rodomont, après avoir repoussé l’armée chrétienne dans les murs de Paris, s’est affronté à Mandricard pour la main de Doralice. Repoussé, il décide de retourner en Afrique et s’arrête dans une hôtellerie sur les bords de la Saône (sur la gravure : La Sonna fiume). Là l’hôtelier (HOSTO sur la gravure) raconte à Rodomont (ROD.) l’histoire de Joconde. « Mais revenons à l’histoire : quand il eut vu qu’on s’était préparé à l’entendre parler et à le faire asseoir devant le chevalier, l’hôtelier commença son récit en ces terms. » (str. 3) A l’arrière-plan, Rodomont arrête Isabelle et l’ermite portant le cercueil de Zerbin. La carte est orientée Sud-Nord, avec le Sud en haut : on monte en suivant le Rhône vers Vienne, Valence et Avignon. Sujet de recherche : Iconographie du Roland furieux
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