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1. Signé et daté sous la gravure à gauche : « [S.] Gessner. f. 1772. » 2. Avant la p. 25. Analyse de l’image : Mon père. — Ensuite, pâle comme la mort, tremblant sur mes jambes, ouvrant la bouche, et ne trouvant aucune parole, m’asseyant, me relevant, commençant une phrase, et ne pouvant l’achever, pleurant ; tous ces gens effrayés m’environnant, s’écriant autour de moi : “Eh bien ! Mon cher monsieur, qu’est-ce qu’il y a ? — Qu’est-ce qu’il y a reprise-je. Un testament, un testament qui vous déshérite.” Ce peu de mots me coûta tant à dire, que je me sentis presque défaillir. Ma sœur. — Je conçois cela. (Entretien d’un père avec ses enfants, in Œuvres, éd. Versini, Bouquins, 2, 490)
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