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1. Au-dessus de la gravure à gauche « Vol. 1. », à droite « Page 76. » Sous la gravure : « I. Hulett inv.t et sculp. Publish’d March 1st, 1742/3 by AMillar. » 2. Gravure insérée face à la p. 76. 3. Autre édition consultée : 5e édition, Londres, A. Millar, 1751. Madison, Memorial Library, PZ3.F46 Ad1751, 2 vol. Gravure identique, de meilleure impression. La gravure est numérotée 2 en bas à droite. Une contrefaçon de cette gravure est utilisée dans la traduction française « par une Dame Angloise », Amsterdam, aux dépens de la Compagnie, 1744, gravure non signée insérée face à la p. 109, 12,2x7,2 cm, exemplaire consulté à Madison, Memorial Library, PR3454 J65F7. Analyse de l’image : Le pasteur Adams, à gauche sur la gravure, fume la pipe à la fenêtre de l’hôtellerie. « Il fumoit encore sans avoir changé d’attitude, lorsqu’il vit un carosse à dix chevaux s’arrêter devant la porte, avec une suite nombreuse. Un jeune homme qui étoit dedans ayant mis pied à terre, avec deux chiens couchants ; un autre qui tenait la place du Cocher, sauta du siége à terre, & dès qu’ils se virent de niveau, il y eut entr’eux le dialogue qui suit ; modéle des délicates conversations de nos jeuns Seigneurs. Morbleu, dit celui qui étoit venu dans le carosse, à celui qui l’avoit mené, tu es un joli garçon, tu a smanué de nous verser il n’y a qu’un moment. Eh ! le grand mal, répondit le Seigneur Cocher, si je t’avois cassé le coû ? je l’aurois fait, ou le Diable m’emporte, si je n’avois craint de blesser les chiens. »
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