Andrieu de Pérouse achète un cheval (Décaméron 1757, J2N5) - Cochin
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Analyse
« Il en était déjà là de son maquignonnage, ayant déjà fait montre de ss bourse, quand une jeune Sicilienne d’une beauté extrême, mais disposée pour un petit prix à faire le bonheur de n’importe qui, passa à côté de lui sans qu’il s’en aperçût, vit la bourse et se dit aussitôt : Mais ne serait-ce pas la joie si j’avais cet argent ?
Et elle passa son chemin.
Cette jeune femme était accompagnée d’une vieille, également sicilienne, qui, laissant, dès qu’elle vit Andrieu, la jeune poursuivre son chemin, accourut affectueusement pour l’embrasser. »
1. Signé sous la gravure à gauche « Cochin inv. », à droite « Flipard Sc.».
En dessous, au centre « T.P.N. 19. »
2. Cinquième nouvelle de la deuxième journée.
Informations techniques
Notice #011627