
Le Kaiserpanorama dâAugust Fuhrmann
Analyse
La réalité est au centre...
   Ouvert Ă Breslau en 1880, dĂ©placĂ© Ă Berlin en 1883, dâoĂč Fuhrmann, son inventeur, le fait essaimer dans toute lâAllemagne, le kaiserpanorama nâest pas un panorama au sens classique du terme. Les spectateurs sont disposĂ©s autour dâun cylindre et regardent Ă travers des lunettes rouges et vertes des images stĂ©rĂ©oscopiques, photographiĂ©es ou peintes. Il y a deux sĂ©ries de cinquantes vues, changĂ©es deux fois par semaine. Ici, chaque place se voit assigner une ville : la place n°2, au centre, propose « Kairo » (La Caire) ; la place vacante de droite propose « Rom » (Rome). Fuhrmann accumula jusquâĂ 25000 piĂšces.
   Ouvert Ă Breslau en 1880, dĂ©placĂ© Ă Berlin en 1883, dâoĂč Fuhrmann, son inventeur, le fait essaimer dans toute lâAllemagne, le kaiserpanorama nâest pas un panorama au sens classique du terme. Les spectateurs sont disposĂ©s autour dâun cylindre et regardent Ă travers des lunettes rouges et vertes des images stĂ©rĂ©oscopiques, photographiĂ©es ou peintes. Il y a deux sĂ©ries de cinquantes vues, changĂ©es deux fois par semaine. Ici, chaque place se voit assigner une ville : la place n°2, au centre, propose « Kairo » (La Caire) ; la place vacante de droite propose « Rom » (Rome). Fuhrmann accumula jusquâĂ 25000 piĂšces.
Annotations :
2. On peut voir la machine de Fuhrmann, ici reproduite dans une gravure de 1910, au musée de Wels.
Informations techniques
Notice #005390
Identifiant historique :
A4709
Traitement de l'image :
Image web
Bibliographie :
Bernard Comment, Le 19e s des panoramas, Adam Biro, 1993
n° 17 aprÚs p. 96