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1. Inscriptions, signatures. 2. Historique, auteur, fabrication, commanditaires. 3. Variantes, œuvres en rapport : Mentions sur la page en dehors de l’image. 1. Signé sous l’image à gauche « J. B. Oudry inv. », à droite « Avelines sculp. » Le « s » d’Avelines doit être compris sans doute comme « Atelier des Avelines ». Légende dans le cartouche, « PAROLE DE SOCRATE Fable LXXVII. » 2. Fables choisies mises en vers…, tome second. Analyse de l’image : « Socrate un jour faisant bâtir, Chacun censurait son ouvrage. L’un trouvait les dedans, pour ne lui point mentir, Indignes d»un tel personnage ; L’autre blâmait la face, et tous étaient d’avis Que les appartements en étaient trop petits. Quelle maison pour lui ! L’on y tournait à peine. Plût au Ciel que de vrais amis, Telle qu’elle est, dit-il, elle pût être pleine ! Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose. Rien n’est plus commun que ce nom ; Rien n’est plus rare que la chose. Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose. Rien n’est plus commun que ce nom ; Rien n’est plus rare que la chose. Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose. Rien n’est plus commun que ce nom ; Rien n’est plus rare que la chose. Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose. Rien n’est plus commun que ce nom ; Rien n’est plus rare que la chose. »
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