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1. Inscriptions, signatures. 2. Historique, auteur, fabrication, commanditaires. 3. Variantes, œuvres en rapport : 2. Don de M. et Mme Noah L. Butkin, 1978. 3. Série « Les amours champêtres ». Les gouaches originales, exposées en 1765 et en 1767, constituaient une suite de 4, celle-ci est marquée n°3. Gravé par Pierre-Philippe Choffard en 1782. La gravure est annoncée dans le Journal de Paris du 19 novembre 1782. Le journal fait remarquer que le sujet rappelle une strophe populaire, « Marchez tout dous, parlez tout bas ». On la trouve en tête du « Chef-d’œuvre d’un inconnu, poème heureusement découvert et mis au jour avec des remarques savantes et recherchées par M. le Docteur Chrysostome Matanasius » [=Hyacinthe Cordonnier, plus connu sous le nom de Thémistocle de Saint-Hyacinthe], La Haye, 1714. Cette chanson populaire conte une visite nocturne de Colin à sa bergère, qui, le reconduisant au matin, répète ce qu’elle lui a dit en lui ouvrant la porte : Marchez tout doux, parlez tout bas, Mon doux ami. Car si mon papa vous entend, Morte je suis ! Analyse de l’image : Livret du Salon de 1767 : « Par M. Baudouin, Académicien. 73. … 77. Plusieurs Portraits & autres Sujets peints à gouasse et en miniature, sous le même numéro. » Cette gouache n’est pas commentée par Diderot.
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