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1. Au-dessus de la gravure à gauche « Page 53. », aucune indication de volume à droite. 2. La gravure est placée face à la page de titre du 2e volume dans l’édition de 1795. Son emplacement p. 45 de l’édition de la Pléiade, au 3e dialogue, est une erreur. Analyse de l’image : « Dolmancé : Attendez que je dispose cette jouissance d’une manière un peu luxurieuse. (Tout s’exécute à mesure que Dolmancé indique :) Augustin, étends-toi, sur le bord de ce lit ; qu’Eugénie se couche dans tes bras, pendant que je la sodomiserai ; je branlerai son clitoris avec la superbe tête du vit d’Augustin qui, pour ménager son foutre, aura soin de ne pas décharger ; le cher chevalier, qui, sans dire un mot, se branle tout doucement, en nous écoutant, voudra bien s’étendre sur les épaules d’Eugénie, en exposant ses belles fesses à mes baisers, je le branlerai en dessous ; ce qui fait qu’ayant mon engin dans un cul, je polluerai un vit de chaque main ; et vous, madame, après avoir été votre mari, je veux que vous deveniez le mien ; revêtissez-vous du plus énorme de vos godemichés. (Mme de Saint-Ange ouvre une cassette qui en est remplie, et notre héros choisit le plus redoutable.) Bon, celui-ci, dit le numéro, a quatorze pouces de long sur dix de tour ; arrangez-vous cela autour des reins, madame, et portez-moi maintenant les plus terribles coups. Mme de Saint-Ange : En vérité, Dolmancé, vous êtes fou, et je vais vous estropier avec cela. Dolmancé : Ne craignez rien ; poussez, pénétrez, mon ange : je n’enculerai notre chère Eugénie que quand votre membre énorme sera bien avant dans mon cul… Il y est ; il y est, sacredieu, ah ! tu me mets aux nues ; point de pitié, ma belle, je vais, je te le déclare, foutre ton cul sans préparation… Ah ! sacredieu, le beau derrière ! » (5e dialogue, Pléiade, p. 103-104.)
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