Éradice fouettée par le père Dirrag (Thérèse philosophe, Londres, 1782)
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Analyse
« Elle se mit à genoux sur un prie-Dieu, un livre devant elle : puis levant ses juppes & sa chemise jusqu’à la ceinture, elle laissa voir deux fesses blanches comme la neige & d’un ovale parfait, soutenues de deux cuisses d’une proportion admirable. Levez plus haut votre chemise, lui dit-il, elle n’est pas bien : là, c’est ainsi. Joignez présentement le smains & élevez votre ame à Dieu : remplissez votre esprit de l’idée du bonheur éternel qui vous est promis. Alors le pere approcha un tabouret, sur lequel il se mit à genoux derriere & un peu à côté d’elle. Sous sa robe qu’il releva & qu’il passa dans sa ceinture, étoit une grosse & longue poignée de verges, qu’il présenta à baiser à sa pénitente.
Attentive à l’événement de cette scène, j’étois remplie d’une sainte horreur… »
Informations techniques
Notice #013071