
Le Verger impénétrable (Roman de la rose, Oxford Douce 371, fol. 4v)
Analyse
Analyse de l'image :
« Alors je m’en allai à vive allure, en faisant le tour de l’enceinte et de la clôture que formait ce grand mur carré, jusqu’au moment où je découvris un portillon bien fermé, tout petit et étroit : nulle part ailleurs on n’en sortait. Je commençai à frapper à la porte, puisque je n’avais pu toruver d’entrée. Je frappai et heurtai à plusieurs reprises et maintes fois j’écoutai si je pouvais entendre arriver âme qui vive. Enfin une jeune fille m’ouvrit le guichet, qui était en charme… »