Mercure, Hersé et Aglaure - d’après Véronèse
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Analyse
1. Signé sous la gravure, à gauche « Paul Veronese pinx[i]t », à droite « Moitte sculp[sit] ».
Dessous, on peut lire : « MERCURE, HERSÉ ET AGLAURE. De la Galerie du Palais d’Orleans. ÉCOLE VÉNITIENNE. Ve TABLEAU DE PAUL CALIARI DIT PAUL VERONÈSE Peint sur toile, hauteur 7 pieds 1 pouce, largeur 5 pieds 4 pouces. C’est en vain qu’Aglaure fille de Cécrops Roi d’Athènes veut empêcher Mercure d’entrer. Ce dieu la touche avec son caducée et la métamorphose en pierre. Hersé négligemment assise, le sein à demi-nu, reste immobile à la vue de son amant. Sa tranquillité fait présumer qu’elle ne voit pas encore dans sa sœur confidente de ses amours, une rivale victime de la haine de Pallas. Les connoisseurs qui regardent ce tableau comme l’un des plus parfaits de Paul Véronèse apportent en témoignage de leur opinion, la signature du maître, qui se rencontre assez rarement sur ses ouvrages. »
2. La présentation, sans les armoiries du duc d’Orléans (même composition que L’Embrasement de Sodome, du même peintre), indique une com
Informations techniques
Notice #002228