Fiction du 19e siècle | Utpictura18

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Venu du rivage de la nuit (E. Poe, Le Corbeau, 16) - Gustave Doré

Perché sur un buste de Pallas (E. Poe, Le Corbeau, 15) - Gustave Doré

J’ouvris grand les volets (E. Poe, Le Corbeau, 13) - Gustave Doré

Quelque chose à ma persienne (E. Poe, Le Corbeau, 12) - Gustave Doré

Des rêves qu’aucun mortel n’avait rêvés (E. Poe, Le Corbeau, 11) - Gustave Doré

L’obscurité et rien d’autre (E. Poe, Le Corbeau, 10) - Gustave Doré

Un visiteur tardif (E. Poe, Le Corbeau, 9) - Gustave Doré

Sans nom ici à jamais (E. Poe, Le Corbeau, 8) - Gustave Doré

Le Deuil de Lénore (E. Poe, Le Corbeau, 7) - Gustave Doré

Vainement j’avais cherché à emprunter (E. Poe, Le Corbeau, 6) - Gustave Doré

Sombre minuit (E. Poe, Le Corbeau, 4) - Gustave Doré

Morne décembre (E. Poe, Le Corbeau, 5) - Gustave Doré

Nevermore (E. Poe, Le Corbeau, 2) - Gustave Doré

Couverture (E. Poe, Le Corbeau) - Gustave Doré

Pas la moindre obéissance ! (E. Poe, Le Corbeau, 14) - Gustave Doré

J’habitais l’arbre derrière moi (Tentation de saint Antoine, 9) - Odilon Redon

Des larves si hideuses (La Maison hantée) - Odilon Redon

Selon toute apparence, c'était une main de chair et de sang comme la mienne (La Maison hantée) - Odilon Redon

Je vis une lueur large et pâle (La Maison hantée) - Odilon Redon

Le contour vaporeux d’une forme humaine (La Maison hantée) - Odilon Redon

Le souffle qui conduit les êtres… (A Edgar Poe, 1882) - Odilon Redon