Parmi les guerriers, Énée reconnaît Déiphobe affreusement mutilé.
Déiphobe lui raconte la trahison d'Hélène, qui a introduit dans sa chambre ses deux bourreaux, Ménélas et Ulysse.
Atque hic Priamiden laniatum corpore toto
Deiphobum uidet et lacerum crudeliter ora,
ora manusque ambas, populataque tempora raptis
auribus, et truncas inhonesto uolnere nares.
Vix adeo adgnouit pauitantem et dira tegentem
supplicia, et notis compellat uocibus ultro :