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à Toulouse
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La mort d’un Père de famille, regretté par ses enfants - Greuze
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Auteur : Greuze, Jean-Baptiste (1725-1805)
Cette notice fait partie d’une série :
Paris, Salon de 1769
(pièce ou n° 160 / 260)
Datation : 1769 Sujet de l’image : Scène dramatique
Dispositif : Scène en frise sans profondeur
Objets indexés dans l’image : Chien
/ Ciel de lit
/ Fenêtre
/ Les personnages font cercle autour de la scène
/ Les personnages font groupe et constituent la scène
/ Lit de mort
/ Main masquant le visage
Nature de l’image : Dessin (lavis)
Technique utilisée : Pinceau, lavis d’encre brune & grise, sur traits de pierre noire, sur papier blc Dimensions : Hauteur 48 * Largeur 66 cm Lieu de conservation : Strasbourg, Collection O. Kaufmann et F. Schlageter Bibliographie : Diderot et l’art de Boucher à David (cat), 1984, n° 72, p. 264 Diderot, Salons de 1767-69, éd. Bukdahl, Delon, Lorenceau, Hermann, 1990, Texte p. 649
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Comparaison avec d’autres notices : Scène d’effroi - Greuze // La Mort de Germanicus - Poussin // L’empereur Sévère reproche à Caracalla d’avoir voulu l’assassiner - Greuze // La mort d’un Père dénaturé, abandonné de ses Enfans - Greuze
1. Inscriptions, signatures. 2. Historique, auteur, fabrication, commanditaires. 3. Variantes, œuvres en rapport : 3. Ce dessin a pour pendant « La mort d’un Père dénaturé, abandonné de ses Enfans ».
Analyse de l’image : Livret du Salon de 1769 : « Par M. Greuze, Agréé. […] Dessins 160. La mort d’un Père de famille, regretté par ses enfans. 161. La mort d’un Père dénaturé, abandonné de ses Enfans. » Commentaire de Diderot : « Que vous dirais-je […] de ces Dessins ? Que c’est là vraiment que Greuze s’est montré un homme de génie. Celui surtout de la Mort d’un père de famille regretté de ses enfants est beau de composition, d’expression et d’effet. Celui qui entend l’art le voit peint ; mais qu’on m’ôte ce chandelier d’église et ce bénitier avec le buis qui sert de goupillon, ces accessoires sont faux ; cet homme n’est pas mort et le prêtre ne s’en est pas encore emparé. »
Sujet de recherche : S. Lojkine, La main tendue, le regard démasqué (Poussin et Greuze)
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