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1. Au-dessus de la gravure à gauche « T. VII. », à droite « P. 314. » Analyse de l’image : Juliette est avec Sbrigani, son homme à tout faire, et Augustine l’imite avec Zéphir, non loin de Pietra-Mala, terrain volcanique qui s’enflamme très facilement. Ils sont supris par l’ermite de l’Apennin. « Sbrigani s’enfonça dans le beau cul de ma soubrette, et je devins la proie de mon valet : Augustine et moi, en face l’une de l’autre, nous nous chatouillions pendant ce temps-là. “Voilà certes une charmante occupation”, nous crie tout à coup une voix terrible, qui nbous parut sortir de derrière un buisson… “ne vous dérangez pas, je veux plutôt partager vos plaisirs que les troubler”, poursuivit cette espèce de centaure, en s’approchant de nous, et nous faisant voir une figure gigantesque, et telle que, de nos jours, nous n’en avions encore vue. Le personnage qui nous parlait, haut de sept pieds trois pouces, ayant des moustaches énormes retroussées sur un visage aussi brun qu’effrayant, nous fit croire un moment que nous parlions au prince des ténèbres… Surpris de la manière dont nous le considérions : “Comment, s’écrie-t-il, ne coçnnaissez-vous don cpas l’ermite de l’Apennin !…” » (3e partie, Pléiade, p. 699.)
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