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Recherche infructueuse

Les cheveux de Biondetta (Le diable amoureux, 1772) - Moreau > Marillier

Analyse

« La nuit s’acheve, & la fatigue prenant le dessus, me procure quelques momens de sommeil. Je ne m’éveillai qu’au jour, on devine la route que prirent mes premiers regards. Je cherchai des yeux mon Page.
    Il étoit assis, tout vêtu à la réserve de son pourpoint, sur un petit tabouret, il avoit étalé ses cheveux qui tomboient jusqu’à terre, en couvrant, à boucles flottantes & naturelles, son dos & ses épaules, & même entierement son visage.
    Ne pouvant faire mieux, il démêloit sa chevelure avec ses doigts. » (P. 42-3)

Sources textuelles :
[Cazotte,] Le diable amoureux (1772)

Informations techniques

Notice #012505

Image HD

Identifiant historique :
B1824
Traitement de l'image :
Image web