« Cette partie qui nous fait femmes… » (Thérèse philosophe, Londres, 1782)
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Analyse
« je me troussai ; & m’étant assise sur le bord du lit, j’écartai les cuisses de mon mieux & m’attachai à exainer attentivement cette partie qui nous fait femmes ; j’en entrouvris les levres, & cherchant avec le doigt l’ouverture par laquelle le Pere Dirrag avoit pu enfiler Éradice avec un si gros instrument, je la découvris, sans pouvoir me persuader que ce fût elle : sa petitesse me tenoit dans l’incertitude ; & je tentois d’y introduire le doigt, lorsque je me souvons de la défense de Monsieur T… J ele retirai avec promptitude en rmeontant le long de la fente. Une petite éminence que j’y rencontrai, me causa un tressaillement, je m’y arrêtai : je frottai, & bientôt j’arrivai au comble du plaisir. Quelle hereuse découverte pour une fille qui avoit dans elle une source abondante de la liqueur qui en est le principe ! »
Informations techniques
Notice #013081