Deux vestales prient Tarquin de libérer les captives (Clélie 2, 1656) - Chauveau
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Analyse
A l’entrée du chariot transportant les captives dans Rome (p. 1095), deux vestales s’interposent et réclament leur libération en vertu de leurs privilèges de Vestales. L’officier qui conduit le convoi leur demande de les accompagner au Palais royal, où seul le roi Tarquin peut accéder à leur demande.
Aronce et Célère, arrivés d’Ardée la veille, assistent à cette entrée et accompagnent le cortège. Il apprennent que l’aînée des deux vestales est Vérénie, la tante de Clélie. Aronce prévient discrètement Vérénie que l’une des captives est sa nièce (p. 1101).
Vérénie obtient l’audience de Tarquin « dans la Chambre de la cruelle Tullie », en présence des captives (sur la gravure, au fond à droite), tandis que la foule qui a accompagné le cortège doit demeurer dans l’antichambre (p. 1102-1103).
1. Signé en bas de l’image à gauche « [monogramme illisible] in et sculpsit ».
2. 1ère partie, livre 3. Gravure p. 1088, face au livre III, p. 1089.
Informations techniques
Notice #015886