Hiéroglyphe de la femme mourante (Diderot, Lettre sur les sourds, 1751)
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Analyse
« Vous trouverez dans la planche du dernier livre de Lucrece, de la belle édition d’Avercamp, la figure qui me convient ; il faut seulement en écarter un enfant qui la cache à moitié, lui supposer une blessure au-dessous du sein, et en faire prendre le trait. » (Diderot, Lettre sur les sourds)
1. En haut à gauche « Pag. 215. »
2. Gravure refabriquée à partir de celle de Frans van Mieris pour le livre VI du De rerum natura de Lucrèce (1725), selon les instructions de Diderot.
La femme mourante est inversée par rapport au modèle de van Mieris.
La Lettre sur les sourds comporte trois planches gravées et une planche de musique. Seul l’Ajax de Longin est signé Eisen et Lemire. On peut penser que c’est Eisen également qui a redessiné et Lemire gravé cette femme mourante, car les trois planches sont de même facture.
Informations techniques
Notice #005252