1001 jours. Aboulcassem (Dessins pour le Cabinet des FĂ©es) - Marillier
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Analyse
Le calife Haroun al Rachid ayant prétendu être l’homme le plus génétreux de la terre, son vizir Giafar affirme qu’il existe à Basora un homme plus génétreux que lui, Aboulcassem. Furieux, le calife fait emprisonner le visir, mais sur les conseils de sa femme Zobéide il va quand même s’assurer de la chose.
A Basora, il se présnete incognito chez le jeune homme, qui le reçoit effectivement avec magnificence. Il lui pr»ésente notamment une esclave richement parée qui joue merveilleusement du luth. Mais à peine le calife s’est-il récrié de plaisir que le calife fait signe à la jeune femme de se retirer. Derrière la tenture à droite, une vieille femme se tient prête, pour la conduire au caravansérail.
1. Au-dessus de l’image, en haut à gauche, « hist. d’aboulcasem. », à droite « tom. 14 jour 2ème ».
Légende dans le cartouche : « o jeune homme, que vôtre sort est digne d’envie ! »
2. 1ère illustration du volume 14.
Paru initialement dans Les mille et un jours, contes persans traduits en français par Pétis de Lacroix, Paris, Veuve Ricœur, 1710-1712, 5 vol. in-12. L’histoire d’Aboul-Cassem Basry est la 1ère histoire des mille et un jours.
Informations techniques
Notice #008535