Thérèse imite ce qu’elle voit (Thérèse philosophe, Londres, 1782)
Série de l'image :
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Date :
Entre 1782 et 1783
Nature de l'image :
Gravure sur cuivre
Sujet de l'image :
Lieu de conservation :
124708 Rem.IV 1353-1
Analyse
« Je devins machinalement le singe de ce que je voyois ; ma main faisoit l’office de celle de l’Abbé ; j’imitois tous les mouvemens de mon amie. Ah ! je me meurs, s’écria-t’elle tout-à-coup : enfonce-le, mon cher Abbé : oui… bien avant, je t’en conjure ; pousse fort, pousse, mon petit ! ah ! quel plaisir ! je fonds… je… me… pâ… me !
Toujours parfaite imitatrice de ce que je voyois, sans réfléchir un instant à la défense de mon Directeur, j’enfonçai mon doigt à mon tour : une légere douleur que je ressentis, ne m’arrêta pas ; je poussai de toute ma force, & je parvins au comble de la volupté. »
Sources textuelles :
Informations techniques
Notice #013088
Identifiant historique :
B2407
Traitement de l'image :
Image optimisée par Esrgan