
Enlèvement du curé de Domfront (Roman comique I-3, 1794) - Le Barbier
Série de l'image :
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Date :
1794
Nature de l'image :
Gravure sur cuivre
B.P. in-8 EG 16 (fonds Pernot)
Œuvre signée
Légende
Analyse
Le brancard n’est pas recouvert d’une bâche : toute la scène qui précède ce moment, où le curé à l’intérieur demeure ignorant de la menace qui pèse sur sa nièce, sur son valet Julian, et sur le paysan Guillaume qui conduit le brancard, devient incompréhensible.
Le chef des assaillants décharge son pistolet sur le jeune homme qui l’a mal renseigné, et lui a fait enlever le mauvais brancard. Au premier plan à droite, Julian, seul, sans Guillaume, est déjà à genoux.
Le dessinateur n’a cependant pas oublié le pot de chambre de cuivre attaché au brancard.
Le cheval du brancard, tué chez Scarron en même temps que l’homme de pied, est ici bien vivant.
Le chef des assaillants décharge son pistolet sur le jeune homme qui l’a mal renseigné, et lui a fait enlever le mauvais brancard. Au premier plan à droite, Julian, seul, sans Guillaume, est déjà à genoux.
Le dessinateur n’a cependant pas oublié le pot de chambre de cuivre attaché au brancard.
Le cheval du brancard, tué chez Scarron en même temps que l’homme de pied, est ici bien vivant.
Annotations :
1. Légende :
« Voilà comme il faut traiter ceux qui donne[nt] de faux avis »
Signé sous la gravure, à gauche « le Barbier del. », à droite « Patas sculp. ».
« Voilà comme il faut traiter ceux qui donne[nt] de faux avis »
Signé sous la gravure, à gauche « le Barbier del. », à droite « Patas sculp. ».
Sources textuelles :
I, 14, GF, p. 135
Informations techniques
Notice #007911
Identifiant historique :
A7230
Traitement de l'image :
Photo numérique
Droits de reproduction / Auteur du cliché :
Cachan, Stéphane Lojkine