Julie est allongée sur son lit d’agonie, mourante ou morte on ne sait, le texte volontairement flotte à ce sujet. Elle est là, exposée en spectacle au petit monde de Clarens, exposée indirectement, par le biais de la lettre, au regard de celui pour qui écrit M. de Wolmar, regard de Saint-Preux, regard du lecteur. Julie à la scène de sa mort est l’objet de la représentation.